Le Riot Mag [2004-2010], le fanzine émeutier !

Le #Riot-Mag était un #fanzine qui a sévi de 2004 à 2010. Cinq exemplaires sont sortis au grès des envies des auteurs. il était basé à #Nancy.

On y trouvait en vrac des #conseils en #manif, en #bricolage ou en #sabotage, des textes sur des #squats à Turin, Nancy ou Louvain, des #astuces pour le #vol à l’étalage, de l’ #histoire des #luttes, des minis- #BD subversives, des recettes #vegan, des compte-rendus d’ #émeutes ou de G8, de l’ #antifascisme, des chronologies d’ #actions-directes, des chroniques de #films et de #bouquins, des #témoignages de luttes, un dossier sur Berlin, un autre sur le contre-sommet de l’ #Otan à Strasbourg en 2009 et plein d’autres choses encore !

Certains articles ou illustrations étaient inédits et d’autres ont été adaptés, détournés ou repompés sans vergogne d’articles existants. Si la plupart des textes sont toujours d’actualité, certains pourront paraitre dépassés. Dix ans plus tard les lignes ont bougés, ils sont à replacer dans leur contexte. Les auteurs aussi ont évolué et n’assument plus forcément 100% de ce qui a été écrit.

Pour les 10 ans de sorti du dernier numéro, nous avons choisi de repartager ces fanzines qui n’étaient pas disponibles sur internet jusque-là.

Vous pouvez télécharger ici les 5 numéros.

Bonne lecture ;)

Pour tout contact : riotmag@no-log.org

les 5 numéros dispo ici :
- 1 info document (PDF – 19.9 Mo)
- 2 info document (PDF – 29.4 Mo)
- 3 info document (PDF – 31.8 Mo)
- 4 info document (PDF – 30.5 Mo)
- 5 info document (PDF – 40.8 Mo)

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Le Riot Mag [2004-2010], le fanzine émeutier !

Le #Riot-Mag était un #fanzine qui a sévi de 2004 à 2010. Cinq exemplaires sont sortis au grès des envies des auteurs. il était basé à Nancy.

On y trouvait en vrac des #conseils en #manif, en #bricolage ou en #sabotage, des textes sur des #squats à Turin, Nancy ou Louvain, des astuces pour le #vol à l’étalage, de l’histoire des #luttes, des minis-BD subversives, des recettes #vegan, des compte-rendus d’ #émeutes ou de #G8, de l’ #antifascisme, des chronologies d’ #actions-directes, des chroniques de #films et de #bouquins, des #témoignages de luttes, un dossier sur #Berlin, un autre sur le #contre-sommet de l’ #Otan à #Strasbourg en #2009 et plein d’autres choses encore !

Certains articles ou illustrations étaient inédits et d’autres ont été adaptés, détournés ou repompés sans vergogne d’articles existants. Si la plupart des textes sont toujours d’actualité, certains pourront paraitre dépassés. Dix ans plus tard les lignes ont bougés, ils sont à replacer dans leur contexte. Les auteurs aussi ont évolué et n’assument plus forcément 100% de ce qui a été écrit.

Pour les 10 ans de sorti du dernier numéro, nous avons choisi de repartager ces fanzines qui n’étaient pas disponibles sur internet jusque-là.

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Faut-il condamner la Cour Pénale Internationale ? - Ce soir (ou jamais !) - 06/05/16 (4/5)

9 mai 2016, avec Juan #Branco et un certain Frédéric #Taddeï #CSOJ
24min : ou https://www.invidio.us/watch?v=wfw2y9W6Otk

Débat entre #JuanBranco, #juriste, auteur de «L'Ordre et le Monde», et #KarineBonneau, responsable du Bureau Justice internationale de la Fédération internationale des Ligues des droits de l'homme.

En douze ans d'existence, la CPI ne s'est attaquée qu'à des #Africains.

À 5min, Karine Bonneau, responsable du Bureau Justice internationale de la Fédération internationale des Ligues des droits de l'homme :

Certes, il faut maintenant que la Cour aille ailleurs, [...] par exemple en #Palestine, en #Ukraine, en #Colombie [...]

Je n'ai pas l'impression qu'en Palestine, là où règne donc le pouvoir des puissants, que la CPI ait fait quoi que ce soit depuis 2016.... mais si je me trompe, n'hésitez pas à me le dire...
J'ai même plutôt souvenir de ça :
https://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/09/10/pour-les-etats-unis-la-cour-penale-internationale-est-illegitime-et-deja-morte_5353174_3222.html

Pour les Etats-Unis, la Cour pénale internationale est « illégitime » et « déjà morte »

Le conseiller de #Trump, John #Bolton, menace de « sanctions » contre la juridiction, qui a fait part de son intention d’ouvrir une enquête sur des crimes de guerre en Afghanistan

À mon sens, cela ne doit pas être différent en Palestine...

Et à écouter ce débat, je me dis que le faible budget alloué à la CPI, est même une garantie qu'elle n'aura pas les moyens d'aller fourrer son nez dans les affaires des puissants, car cela lui reviendrait trop cher. La CPI ne peut donc que s'intéresser à des seconds couteaux, de ceux qui gênent le pouvoir des puissants actuels, ceux du monde #occidental donc...

#Institution #Juges #Juge #CPI #Justice #Puissance #CourPénaleInternationale #Cour #Rien #Occident #Afrique #Pouvoir #FIDH #Darfour #Afghanistan #Kadhafi #Lybie #OTAN #Intox #USA #France #État #Politique #Crime #Humanité #Guerre #Génocide #Police #Enquête #Irak #Armée #Légitimation #Instrumentalisation #Trahison #0911 #OrdreMondial #Attentats #11Septembre #Élites #Dictature

Faut-il condamner la Cour pénale internationale ? - Ce soir (ou jamais !) - 06/05/16 (4/5)
9 mai 2016, avec Juan #Branco et un certain Frédéric #Taddeï #CSOJ
ou https://www.invidio.us/watch?v=wfw2y9W6Otk

Débat entre #JuanBranco, #juriste, auteur de «L'Ordre et le Monde», et #KarineBonneau, responsable du Bureau Justice internationale de la Fédération internationale des Ligues des droits de l'homme.

En douze ans d'existence, la CPI ne s'est attaquée qu'à des #Africains.

À 5min, KarineBonneau, responsable du Bureau Justice internationale de la Fédération internationale des Ligues des droits de l'homme :

Certes, il faut maintenant que la Cour aille ailleurs, [...] par exemple en #Palestine, en #Ukraine, en #Colombie [...]

Je n'ai pas l'impression qu'en Palestine, là où règen donc le pouvoir des puissants, que la CPI ait fait quoi que ce soit depuis 2016.... mais si je me trompe, n'hésitez pas à me le dire...

#Institution #Juges #Juge #CPI #Justice #Puissance #CourPénaleInternationale #Cour #Rien #Afrique #Pouvoir #FIDH #Darfour #Afghanistan #Kadhafi #Lybie #OTAN #Intox #USA #France #État #Politique #Crime #Humanité #Guerre #Génocide #Police #Enquête #Irak #Armée #Légitimation #Instrumentalisation #Trahison #0911 #OrdreMondial #Attentats #11Septembre #Élites #Dictature

Sevilla a 8 de enero de 2020
Comunicado de la Plataforma de Sevilla contra la guerra sobre el asesinato el pasado viernes 3 de enero de 2020 del general iraní Soleimani

El ministerio de la guerra estadounidense (el "Pentágono") ha creado una gravísima crisis internacional al asesinar mediante drones a uno de los máximos dirigentes de Irán para utilizarla como pretexto para desencadenar una nueva guerra generalizada en Oriente Próximo. El ministerio correspondiente del régimen israelí se muestra impaciente por utilizar sus bombarderos. Ambos regímenes se hallan en períodos preelectorales y con sus gobernantes cuestionados por corrupción e incompentencia. Y la ONU, la única «comunidad internacional» formal, desmantelada en la práctica, muestra con su silencio la impotencia de los organismos internacionales frente a las guerras actuales.

El asesinato de Soleimani se inscribe en la estrategia colonial en Oriente Próximo de los regímenes israelí y estadounidense de la que son buena muestra, refiriéndonos tan sólo a los últimos meses, la transferencia de la embajada de los EÉUÚ a Jerusalén, el reconocimiento de la ocupación colonial de Cisjordania y de los Altos del Golán, la ruptura del acuerdo nuclear firmado con Irán en 2015, y el embargo total sobre las exportaciones iraníes, especialmente del petróleo, que son vitales para este país.

Nuestros medios de comunicación describen al unísono la «voluntad expansionista» de Irán como una amenaza para la paz mundial evitando cautelosamente decir que todo Oriente está prácticamente invadido y ocupado militarmente desde principios de este siglo por las potencias occidentales con los EÉUÚ a la cabeza. Y que en su estrategia colonial han utilizado desde hace mucho tiempo los «asesinatos selectivos» (una expresión junto con la de «ejecuciones extrajudiciales» introducidas por Israel) a opositores de su política tanto en Asia como en África aunque no se había llegado a la reivindicación pública del asesinato de altos funcionarios de otros países en visita legal a un tercer país y a jactarse chulescamente de ello.

Una nueva línea roja del derecho internacional ha caído. A partir de este momento cualquier funcionario o militar o presidente de cualquier país sabe que puede ser asesinado impunemente si le viene en gana al gobierno estadounidense. El asesinato de Soleimani equivale a una declaración de guerra y amenaza con comprometer a todos los países de la Otan en una guerra generalizada con Irán.

Estos tambores de guerra llegan al mismo tiempo que el anuncio del régimen estadounidense de desplegar dos destructores y 600 marinos más en la base de Rota en la que actualmente hay ya 4250 militares y 1000 civiles extranjeros.

Los destructores estadounidenses de Rota forman parte del llamado «escudo antimisiles» diseñado por la OTAN para hacer frente a un «hipotético» ataque de Irán o Corea del Norte así como otras misiones, tanto aliadas como unilaterales de los EÉUÚ, como patrullar el mar Negro para disuadir a Rusia o intervenir, esta vez de manera real y no hipotética, en el conflicto de Siria como sucedió en abril de 2017, cuando las naves «US Porter» y «USS Ross» lanzaron misiles de crucero contra instalaciones militares de Siria.

En la pasada reunión de la Otan en Londres del pasado 3 de diciembre, Pedro Sánchez, aún todavía jefe de gobierno en funciones, hizo valer la participación española en misiones internacionales (en Afganistán, Irak, Líbano o Malí) y la cesión de las bases de Rota y Morón de la Frontera durante la breve conversación que mantuvo con el presidente estadounidense en el cóctel que ofreció la reina de Inglaterra a los asistentes para justificarse ante las quejas de Trump por la escasa inversión de España en defensa (0,92% del PIB), pero no por eso dejó de advertir a los países que no cumplan el objetivo de dedicar el 2% a gasto militar que pagarán sí o sí esa factura en forma de aranceles.

En un nuevo gesto de sumisión nuestro gobierno ha prorrogado por seis meses el mantenimiento de una batería de misiles Patriot en el sureste de Turquía para hacer frente a un «hipotético» ataque de Siria aunque militarmente la misión se haya vuelto inútil, pues hace tiempo que la amenaza no existe y además Italia y Francia han retirado ya las suyas.

Las tropas españolas deben abandonar Iraq a donde nunca debieron ir y donde aún permanecen más de quinientos soldados.

La situación geoestratégica de Andalucía la ha convertido en uno de los territorios más militarizados de Europa con sus bases extranjeras de Rota, Morón y Gibraltar. Con la connivencia activa de los gobiernos de España y de la Junta, se vienen reforzando las bases y su papel en las intervenciones militares en el extranjero. Andalucía se ha convertido en un escenario bélico privilegiado y fatídico en caso de guerra.

La crisis sistémica de un capitalismo agotado y sin soluciones para la humanidad ha alcanzado un punto crítico de inestabiliad y de desorden y cada día que pasa aumenta la probabilidad de una guerra nuclear que ineluctablemente afectaría de lleno a Andalucía.

Andalucía tiene algo que decir en medio de todas estas amenazas, tiene derecho a opinar y decidir sobre el uso de su territorio, tiene que exigir el desmantelamiento de las bases extranjeras y convertirse en un referente moral como promotora de una cultura de paz. Debe defender el derecho internacional y la soberanía de los pueblos y naciones agredidos.

Andalucía debe ser tierra libre de OTAN y de bases militares extranjeras.

Andalucía debe ser tierra de Paz.

Plataforma de Sevilla contra la guerra, 8 de enero de 2020

#guerra #EEUU #EstadosUnidos #USA #Estados-Unidos #Irán #OrienteMedio #Trump #Soleimani #OTAN #Sevilla #Andalucía #imperialismo #antimilitarismo #antiimperialismo #Israel #Rota #Morón #MoróndelaFrontera

Macron juge l’Otan en état de « mort cérébrale », l’UE « au bord du précipice »
https://www.nouvelobs.com/monde/20191107.OBS20816/macron-juge-l-otan-en-etat-de-mort-cerebrale-l-ue-au-bord-du-precipice.html

« Ce qu’on est en train de vivre, c’est la mort cérébrale de l’Otan », a déclaré Emmanuel Macron à l’hebdomadaire « The Economist » publié ce jeudi. Quant à l’Europe, elle « disparaîtra » si elle ne « se pense pas comme puissance » mondiale.

Par L'Obs. Publié le 07 novembre 2019.

Encore une saleté de discours pour imposer toujours « plus d'Europe ». Entendez par là, plus de cette mal nommée "union" européenne. Rien à voir avec l'Europe.

si elle ne « se pense pas comme puissance » mondiale. : ce qui est impossible, car si l'union fait la force, encore faut-il regarder dans la même direction. Et les (vieux) pays européens ont une identité propre forte et des intérêts divergents sur tous les sujets !!

#Frexit. #UE #OTAN #Euro #Europe #Macron #France
« L'Europe », si un jour on doit la faire, ce sera entre peuples européens et sans ces saletés de néolibéraux.
Dégageons cette mal nommée "union" européenne, car c'est de toute façon l'étape nécessaire avant toute vraie UNION des peuples.
Pourquoi ? Parce que les Macrons et Cie détruiront cette UE, plutôt que de la laisser entre les mains de gens qui veulent du #social et de l' #humain !
Redonnons la #souveraineté aux #peuples, et après, on verra.

L'UE ne se transformera plus.... Elle disparaîtra, ça oui..

Jacques SAPIR le 16 janvier 2019 sur Thinkerview, à propos de la création d'un État "Europe" #Peuple #Nation #Culture #Politique : https://thinkerview.video/videos/watch/71cf08af-d286-4704-84db-0181fda56df6?start=49m46s

El incidente del #GolfoDeTonkín, #PearlHarbord, #9 11 #ElAcorazadoMaine etc. fueron operaciones de falsa bandera...

*La Agencia Central de Inteligencia de Estados Unidos (#CIA por su sigla en inglés) admitió que contrató a #iraníes en la década de los 50 para que fingieran ser comunistas y planearan el estallido de bombas en Irán, y así utilizar los hechos para poner al pueblo iraní en contra del primer ministro.

*El #Gobierno #británico admitió que -entre 1946 y 1948- bombardeó cinco barcos que transportaban a #judíos que intentaban escapar del Holocausto y resguardarse en #Palestina. Crearon un falso grupo denominado los “Defensores de la Palestina Árabe”, que reclamaron falsamente haber sido los responsables de los ataques.

*#Israel admitió que en 1954 una célula terrorista israelí que operaba en #Egipto plantó bombas en varios edificios, incluyendo aquellos donde se encontraban diplomáticos norteamericanos. Dejaron “evidencias” para hacer ver a los árabes como responsables. Una de las bombas estalló de manera prematura, lo que permitió a los egipcios identificar a los responsables. Varios de los israelíes implicados confesaron el hecho.

*En 1960, el senador norteamericano Georga Smathers sugirió que los Estados Unidos realizaran un “falso ataque a la #BahíadeGuantánamo que sería la excusa para fomentar un conflicto que nos diera la excusa para invadir y derrocar a Fidel Castro”.

*Decadas Previas al #9 11 el Gobierno de Estados Unidos, y demostrado en documentos desclasificados, en 1962 el Estado Mayor Conjunto de los Estados Unidos elaboró un plan para estallar aviones estadounidenses y cometer ataques terroristas en suelo norteamericano, y culpar a los cubanos para justificar la invasión de #Cuba.

*La Agencia de Seguridad Nacional (#NSA, por su sigla en inglés), admitió que mintió sobre lo que realmente sucedió en el Golfo de #Tonkin en 1964. Manipularon datos para que parezca que botes de Vietnam del Norte dispararon contra barcos de Estados Unidos y así crear una falsa justificación para la guerra de Vietnam.

*Un agente del #Mossad admitió que en 1984 el #Mossad plantó un transmisor de radio en el complejo de #Gaddafi en #Trípoli, #Libia, que transmitió trasmisiones terroristas falsas registradas por el Mossad, con el fin de mostrar a Gaddaffi como un partidario del terrorismo. #Ronald #Reagan bombardeó Libia inmediatamente después.

*Un diplomático #argelino y varios oficiales del ejército argelino admitieron que, en la década de 1990, el Ejército argelino masacró a civiles argelinos y luego culpó a los militantes islámicos de los asesinatos.

*Aunque el #FBI admitió que los ataques con #ántrax del año 2001 fueron llevados a cabo por uno o más científicos del Gobierno de Estados Unidos, la Casa Blanca intentó culpar de los ataques a #Al Qaeda y también al Gobierno de #Irak, como justificación para el cambio de régimen en ese país.

*Del mismo modo, los EE.UU. falsamente culpó a Irak de jugar un papel en los ataques del 11 de septiembre, tal y como demuestra un memorando del secretario de Defensa, planteando así una de las principales justificaciones para el lanzamiento de la guerra de Irak. Incluso después que la Comisión 9/11 admitiera que no había conexión alguna, Dick Cheney declaró que la evidencia de la relación de Al Qaeda con el Gobierno de #Saddam Hussein era “abrumadora”. También dijo que los medios no “estaban haciendo su tarea”. Altos funcionarios estadounidenses admiten que la guerra contra Irak fue realmente ejecutada por petróleo, no por el 11 de septiembre o por las supuestas armas de destrucción masiva, que nunca se encontraron.

*Soldados #israelíes disfrazados admitieron en 2005 que lanzaron piedras a otros soldados israelíes para poder culpar de los ataques a los palestinos, como excusa para acabar con las protestas pacíficas del pueblo palestino.

*El respetado periodista del #Telegraph, #Ambrose Evans-Pritchard, afirmó que el jefe de la inteligencia 3saudím, el príncipe #Bandar, admitió a mediados de 2013 que el gobierno #Saudí “controlaba” a los #separatistas #chechenos.

*Fuentes estadounidenses de alto nivel reconocieron que el gobierno turco, un país miembro de la #OTAN, llevó a cabo los ataques con armas químicas de los que se culpó al gobierno sirio de #Bashar al Assad; además, miembros de alto rango del gobierno turco, fueron grabados admitiendo planes para llevar a cabo más ataques y echarle la culpa al gobierno sirio.

*El ex jefe de seguridad de Ucrania admitió que los ataques perpetrados por francotiradores durante las protestas del #Euromaidán, que iniciaron el golpe de Estado de Ucrania, fueron llevados a cabo para desacreditar al gobierno ucraniano de Víktor Yanukóvich, con el fin de provocar un cambio de régimen en el país, auspiciado por el Gobierno de Barack Obama.

*Esto se supo gracias a documentos revelados por el exagente de la NSA #EdwardSnowden a mediados de 2014, que muestran que la agencia británica de espionaje GCHQ desarrolló numerosas herramientas digitales para el #espionaje.

Fuente: http://www.washingtonsblog.com/2015/02/41-admitted-false-flag-attacks.html

#Irán no participó en los ataques del fin de semana contra la petrolera Saudí y espera evitar un conflicto.

Pero cualquier ataque contra su país conduciría a una “#GuerraTotal”.

https://www.lanuevatribuna.com/2019/09/ultima-hora-iran-preparada-para-entrar-en-guerra-con-ee-uu/

#Kurdistan #Rojava #Revolution

Où en est le Rojava ?

De la #Zad on suit de près ce qui se passe au Kurdistan, car cette lutte nous est proche par sa recherche d’horizontalité, de démocratie directe et par la place importante qui prennent les questions féministes. On a déjà relayé et on continuera de le faire la campagne internationale riseup4rojava.org.
Ci joint une analyse de la situation politique et militaire en août

Ces derniers jours, des rapports ont infirmé une potentielle invasion de la Syrie du Nord et de l’Est par les forces armées turques. Par cette analyse, nous souhaitons souligner la situation politique et militaire actuelle et montrer comment la campagne d’occupation de la Turquie au Kurdistan du Sud (Irak du Nord) est liée à la situation au Rojava et ce que l’appel renouvelé d’Abdullah Ocalan signifie.

Les négociations États-Unis – Turquie à Ankara

Après une réunion de trois jours, les représentants des impérialistes nords-américains et des fascistes du régime de l’AKP-MHP ont annoncé, dans une déclaration commune le 7 août, leur décision en faveur de l’établissement coordonné d’une soi-disant zone de sécurité au Rojava et dans la Syrie du Nord.

Dans cette déclaration, les deux puissances de l’OTAN présentent trois piliers essentiels de leur accord :

1) Avec exécution immédiate, les « préoccupations de sécurité » de la Turquie à la frontière turco-syrienne doivent obtenir satisfaction, ce qui constitue une part importante de l’argumentation de la Turquie, qui se voit renforcée.

2) D’établir le plus tôt possible un centre d’opérations conjointes en Turquie pour coordonner l’exécution des stratégies et le contrôle prochain de la zone de sécurité.

3) En dehors de cela, les deux pouvoirs ont déclaré qu’ils feront tous les efforts nécessaires pour établir un espace dans la zone de sécurité pour l’implantation de réfugiés Syriens en Turquie.

Ce qui a été partagé publiquement dans ce communiqué est ridiculeusement court en comparaison de ce qui peut ressortir de cette réunion de trois jours. Le communiqué ne comprend aucune indication de qui devrait administrer la zone de sécurité ou jusque où celle-ci ira devra aller dans l’intérieur du pays, ni exactement ce que signifierait l’implantation des réfugiés Syriens de Turquie, désignés comme « les frères Syriens » par la déclaration turque. Au final, la déclaration délaisse les réponses aux points cruciaux du conflit ouvert et semble constituer un accord qui n’a qu’un but, qui est de continuer les négociations et de sauver la face des Américains envers le monde extérieur, comme un facteur « protecteur » pour les Kurdes. La Turquie aussi sauve sa face en interne, donnant suite à ses propres menaces et montrant qu’elle peut prétendument « conduire » les Américains à la suivre.

Il est clair, cependant, que si l’on considère tous les facteurs, toutes les conditions, il n’est pas possible pour la Turquie de rentrer dans la région et d’attaquer de sa propre initiative. Examinons Afrin, par exemple, et nous verrons qu’un accord important a été fait pour qu’elle soit attaquée avec le consentement de la Russie, et que c’était la Russie qui a ouvert la voie à l’attaque. Il est vrai que ce fut la Russie qui rendit l’attaque possible. Mais cela, aussi, a été fait avec un consentement international.
Aujourd’hui, au Rojava, dans la Syrie du Nord et de l’Est, la Turquie peut uniquement attaquer avec l’accord des États-Unis et de la coalition internationale. Autrement, cela sera impossible pour elle.

Il ne peut être question de détente…

Alors que certains sont déjà en train de dessiner des conclusions hâtives et déclarent que la menace d’invasion de la Turquie a été avortée, l’armée d’occupation turque achemine davantage de troupes à la frontière au niveau de Kobanê et Girespi. Cela inclut des lance-roquettes, des obusiers, des tanks, des munitions et des troupes au sol.

Le 6 août, la Turquie a ordonné les dispositifs à la frontière de se « mobiliser », sous le titre de « mesures à prendre dans le cadre d’une opération transfrontalière ».
Des instructions ont été donné tout particulièrement aux commandants locaux de la police militaire, aux quartiers généraux de la Police, l’Autorité de Gestion de Crise (AFAD), les autorités de l’immigration, les branches du Croissant Rouge Turc, les mairies et les bureaux de districts dans les provinces de Mêrdîn (Mardîn) et de Riha (Urfa). Cet ordre à la mobilisation générale n’a pas été révoqué. L’armée turque est prête à attaquer n’importe quand.

Les représentants du régime à Ankara ont encore annoncé hier que si les premières étapes ne sont pas prises suffisamment rapidement, la Turquie serait prête et a désormais fait toutes les préparations nécessaires pour prendre en main la « sécurisation de ses propres frontières ». Le ministre des Affaires étrangères a dit hier qu’ils ne sont plus prêts à tolérer de perdre sur le terrain ce qui a été gagné diplomatiquement.
La propagande dans les médias turcs continue à être importante. Ces derniers expliquent vouloir acter dans le cadre d’une coordination avec les américains, cependant, si quelqu’un venait à tirer ne serait-ce qu’un coup de feu sur le sol turc, les forces d’occupations turques se tiennent prêtes le long de la frontière pour une opération au sol immédiate afin de sécuriser leurs intérêts.

Il semble que davantage du temps a été gagné par les négociations, mais la menace continue. Les faits basés sur les événements du terrain et à la frontière n’ont en rien changé.

Par conséquent, les préparations du côté de la Fédération continuent, les positions sont fortifiées et les unités de défense sont toujours prêtes et vigilantes à la frontière, avec une préparation totale pour défendre la révolution. Aussi, le peuple continuera les actions de boucliers humains.

Apprendre d’Afrin

Les leçons apprises de la résistance d’Afrin sont toujours pertinentes et ne seront pas oubliées. Les peuples du nord-est de la Syrie ne mettront pas leur avenir dans les mains de l’impérialisme américain, mais organiseront leur autodéfense sur la base de leur propre force. Aussi longtemps que la Fédération ne sera pas reconnue internationalement avec un statut officiel et ne pourra pas participer sans entrave à toutes les négociations à propos du futur de la Syrie, il ne sera pas possible de se fier aux promesses diplomatiques. Aldar Xelil a déclaré au nom du Mouvement pour une Société Démocratique (TEV-DEM) que les détails de la zone de sécurité seraient tout d’abord discutés et analysés et qu’une décision sur la position d’une Fédération sera faite plus tard. Il s’agit de montrer clairement et avec force que la révolution a maintenant acquis un facteur de puissance indépendante dans le Moyen-Orient. Personne ne peut plus simplement prendre des décisions à la place du peuple du nord-est de la Syrie. La population déterminera son propre futur et son propre destin.

La guerre n’a pas commencé au Rojava

Avec toutes les discussions au sujet de la menace du fascisme turc sur le Rojava, nous devons pas oublier qu’aussi, dans le nord de l’Irak, au Kurdistan du Sud, une offensive au sol de grande ampleur avec des dizaines de milliers de soldats turcs continue sans relâche. Le 28 mai, la Turquie a lancé l’Opération Griffe avec 10.000 soldats turcs contre les zones libérées de la guérilla kurde.
Tous les jours, des accrochages violents ont lieu entre les guérillas et les forces d’occupation dans toutes les zones.
Les bases de la guérilla subissent constamment des frappes de l’aviation et de l’artillerie turque. Pression est aussi faite sur Shengal et Mexmur. Le camp de réfugiés de Mexmur a été de facto isolé totalement depuis l’attaque contre l’attaque au Kurdistan du Sud contre le responsable des services secrets turcs (MIT) à Hewler. De même, les peshmergas et le PDK collaborent avec les forces d’occupation, transférant de plus en plus de forces dans les zones de la guérilla et sécurisant les envahisseurs turcs dans leur avancée.
Il doit être clair que rien de ce qui se passe au Kurdistan ou dans l’ensemble de la région peut être considéré séparément de ce qui advient actuellement au Rojava. La situation doit toujours être considérée au-delà des frontières. Il a été souligné encore et encore que les attaques au Kurdistan du Sud sont une nouvelle étape pour encercler la révolution du Rojava. Après que les opérations d’occupation du Bouclier de l’Euphrate et de la Branche d’Olivier ont débuté l’encerclement des zones libérées depuis l’ouest, le fascisme turc essaye maintenant d’amener de prochaines zones sous ses lois à l’est, pour intensifier le siège.
Il se peut que l’affrontement à l’est de l’Euphrate n’ait pas encore lieu, mais plus à l’Ouest la guerre à Afrin sévit, tous les jours des bombes explosent dans les zones libérées et poussent les civils à la mort. Au regard du Kurdistan du Nord et de la situation de guerre sur place, il n’y a pas besoin de plus d’explications. Il s’agit ici d’une campagne sanglante d’extermination par le régime de l’AKP-MHP contre tous les accomplissements du peuple kurde et du mouvement de libération qui ont pu être mis en œuvre depuis plus de quatre ans maintenant.

Le but actuel du régime turc est la restauration aux frontières de l’Empire ottoman depuis Alep à l’ouest de la Syrie à Kirkouk au sud du Kurdistan (nord de l’Irak). Afin de réaliser ses rêves néo-ottomans, Erdogan doit apporter complètement le nord de la Syrie et le nord de l’Irak sous son contrôle et changer démographiquement toute la région. La destruction du mouvement de libération kurde est par conséquent impérative.

Il y a des raisons suffisantes pour mener des actions maintenant et pour contrecarrer les plans futurs avant qu’ils ne puissent être mis en pratique. Aussi longtemps que le régime perdure, la Révolution du Rojava ne sera pas sûre.

Nous devons comprendre correctement l’appel d’Abdullah Öcalan

L’appel du représentant du peuple kurde Abdullah Öcalan en lien avec les discussions avec la délégations d’avocats d’Imrali doit être considéré et évalué dans le bon contexte. Une nouvelle fois, Abdullah Öcalan a clarifié sa position sur la paix et déclare qu’il est prêt pour une telle solution pour la question kurde. Il a pointé la longue histoire des relations kurdes et turques et a rendu clair qu’une solution à la question dépendrait uniquement de l’État et de sa mentalité, s’il était prêt pour une réelle solution. Dans son communiqué du 26 mai, il a aussi souligné les possibilités d’une solution politique et a affirmé que l’État devrait présenter son point de vue dans les 40 jours. L’État a choisi d’ignorer son appel, de laisser ce dernier s’évanouir et a répondu le 27 mai par le commencement de l’opération au sol au Kurdistan du Sud et les déploiements de troupes à la frontière du Rojava.

Aujourd’hui encore, l’attitude d’Öcalan ne signifie pas qu’il y aura des négociations. Le mouvement de libération a sans cesse été disposé à négocier et comment ce processus se développera prochainement dépend du côté turc. Le message d’Öcalan représente une intervention dans les événements de la politique de la Turquie et peut mettre des batons dans les roues à sa ligne de propagande, mais il ne devrait pas être pris hâtivement comme un signal de défense. Comme cela a déjà été dit, les faits du terrain et les tensions aiguës n’ont pas encore changé.

Front commun contre le fascisme turc

Il est cependant important de continuer les préparations. Tout comme nous sommes ici en train de travailler sur notre défense, nous devons continuer aussi à pousser en avant par les mobilisations au-delà du Rojava, renforcer l’unité d’action et augmenter la pression sur les acteurs économiques, militaires et politiques. Pour devenir actif, il n’est pas nécessaire qu’une nouvelle guerre ait lieu contre le Rojava, puisque, comme l’analyse de la situation le démontre, la guerre est déjà en cours contre la révolution. Pratiquement aussi bien qu’idéologiquement, de nouveau fronts contre le fascisme turc et l’impérialisme doivent être construits. L’appel pour la mobilisation le Jour X et les Journées Internationales d’Action en septembre offrent l’attention nécessaire pour faire connaître les réalisations de la révolution au Kurdistan à travers le monde et de répandre davantage ce feu révolutionnaire.

S’il y a ou non une autre guerre, une invasion de grande échelle contre la Fédération et comment la période se développe dépendra finalement de notre propre force ici sur le terrain et de celle du mouvement révolutionnaire à travers le monde. Pour cela, nous devons nous organiser.

#horizontalité #démocratiedirecte #féminisme #Syrie #arméesturques #Turquie #Irak #États-Unis #usa #Russie #impérialistes #fascistes #AKP #MHP #OTAN #Ocalan #YPG

Hey #Fediverso #tzag

me he dado cuenta, que #mastodon en su formato de varias columnas no puede desplegar bien mi mensaje con una lista de servicios y cuentas #bot que pueden servir a los nuevos usuarios.

Aqui os dejo una imagen:



Aqui la direccion:
https://snarl.de/display/0bf23919-105d-669e-5e98-706145238220

Y un mensaje publicitario...

¿Sabias que ahora mismo la #OTAN y sus socios hacen unaguerra sucia a muchos paises, matando inocentes, destruyendo economias, masacrando escuelas, como tambien a inocentes?

¿Sabias que las empresas consideradas #gafam tienen algunos aspectos en comun, como ser parte de algun #oligopolio, #vigilar a sus clientes, socios y #gobiernos de la competencia a favor de #USA y sus servicios de espionaje?

¿Sabias que las empresas de la #gafam no solo mienten al decir que respetan nuestra #privacidad, sino que hacen todo lo posible por cooperar con la #policia y asi mantenernos vigilados 24x7?

¿Sabias que los medios alternativos son mas independientes que todos los grandes medios de masas y que por esta razon estan siendo estrangulados economicamente y perseguidos por gobiernos como los de #EEUU y los socios de la #UE, pues informan sobre hechos muy graves que van en contra de los #DDHH y por esto, que el #freeAssange se hace muy urgente?

Japon a las Puertas

Hace 30 años, las empresas de #Japon eran famosas en todo el mundo por sus innovativos productos y forma de trabajar... hace 30 años.

Hoy Japon se destaca por el alto numero de procesos judiciales por temas de #propiedad #intelectual o #copyright que se llevan a cabo mes a mes en los tribunales, tambien por una economia estancada, una "desbalanza comercial", #corrupcion, abuso de #trabajadores y una alta taza de concentracion de la economia... pero sigue siendo considerada una #economia #desarrollada.

Todavia sigue estando dentro del ranking de los 20 paises mas ricos del mundo... y como el resto del club de exclusivos, necesita culpar a otros e invertir cada vez mas recursos en su industria militar.

Este era uno de los pocos paises, que despues de la II #Guerra Mundial habia decidido introducir una clausula especial en su constitucion: La no participacion militar en conflictos de otros paises. Pero como otras historias, esto tambien ha llegado a su fin hace un par de años, cuando su clase politica decidio dar un cambio de direccion politica y comenzar a tomar posiciones mas activas junto a sus socios de la #OTAN.

¿Los movimientos por la #paz estamos perdiendo esta batalla?

Le président et les pyromanes
Le Monde Diplomatique - Serge Halimi

« Le pire n’est point arrivé tant qu’on peut dire : “Ceci est le pire. ” » Ces jours-ci, la diplomatie française fait penser à ce vers du Roi Lear. À l’issue du quinquennat de M. François Hollande, on croyait avoir atteint le fond (1) ; quelques-uns prédisaient même un sursaut d’orgueil. Après tout, dès lors que les États-Unis affichaient leur souverain mépris envers les capitales européennes et leur désir de se dégager des obligations du traité de l’Alliance atlantique, pourquoi ne pas en profiter pour quitter l’OTAN (lire « Un donjon d’un autre âge »), renoncer à la politique de sanctions contre Moscou et imaginer la coopération européenne « de l’Atlantique à l’Oural » dont rêvait le général Charles de Gaulle il y a soixante ans ? Enfin libre de la tutelle américaine — et adulte !

En entérinant l’autoproclamation de M. Juan Guaidó comme chef de l’État vénézuélien par intérim au prétexte d’une vacance de la présidence qui n’existe que dans son imagination, Paris s’est au contraire mis une nouvelle fois à la remorque de la Maison Blanche et a donné son aval à une tentative de coup d’État. La situation au Venezuela est dramatique : inflation galopante, sous-alimentation, prévarication, sanctions, violences (2). Elle l’est aussi parce qu’une solution politique se heurte désormais au sentiment que quiconque se dresse contre le pouvoir, ou perd le pouvoir, risque d’échouer derrière des barreaux. Comment les dirigeants vénézuéliens n’auraient-ils pas à l’esprit le cas de l’ancien président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, interdit de candidature à une élection présidentielle qu’il aurait probablement remportée et condamné à vingt-cinq ans de prison ?

La décision de la France enfreint la règle qui voulait que Paris reconnaisse des États, pas des régimes. Elle conduit également M. Emmanuel Macron à encourager la politique incendiaire des États-Unis, qui, derrière le Venezuela, vise aussi Cuba et le Nicaragua. Car la proclamation de M. Guaidó a été inspirée par les pyromanes les plus dangereux de l’administration Trump, tels MM. John Bolton et Elliott Abrams (lire « Le retour du “secrétaire d’État aux sales guerres” »). Nul n’ignore au demeurant que le vice-président américain Michael Pence a informé M. Guaidó que les États-Unis le reconnaîtraient… la veille du jour où il s’est proclamé chef de l’État (3).

Le 24 janvier dernier, M. Macron a exigé « la restauration de la démocratie au Venezuela ». Quatre jours plus tard, il arrivait l’âme légère au Caire, bien décidé à vendre quelques armes supplémentaires au président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi, auteur d’un coup d’État rapidement suivi par l’incarcération de soixante mille opposants politiques et par la condamnation à mort de son prédécesseur librement élu. En matière de politique étrangère qui se prétend vertueuse, le pire est-il encore à venir ?

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(1) Lire Dominique de Villepin, « “La France gesticule... mais ne dit rien” », Le Monde diplomatique, décembre 2014.

(2) Lire Renaud Lambert, « Venezuela, les raisons du chaos », et Temir Porras Ponceleón, « Pour sortir de l’impasse au Venezuela », Le Monde diplomatique, respectivement décembre 2016 et novembre 2018.

(3) Cf. Jessica Donati, Vivian Salama et Ian Talley, « Trump sees Maduro move as first shot in wider battle », The Wall Street Journal, New York, 30 janvier 2019.

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#diplomacie #politique #democratie #France #Macron #Venezuela #OTAN #USA #diplo #LeMondeDiplomatique